Our online buy steroids store specializes in delivering steroids across the US.
Guillaume Doyen, auteur sur Vaonis - Page 2 sur 2
Our online buy steroids store specializes in delivering steroids across the US.

Author: Guillaume Doyen

Asteroid Oumuamua
Conseils & Actu

OUMUAMUA : le premier Astéroïde Interstellaire serait-il une Comète ?

Découvert le 17 octobre 2017, Oumuamua (1U/2017 U1) avait fait la une des médias scientifiques puisqu’il fut le tout premier corps céleste étranger provenant d’une autre étoile, de passage dans notre système solaire. Initialement nommé en tant que comète (C/2017 U1), les scientifiques avaient rectifié sa dénomination le 26 octobre 2017 pour le considérer comme un astéroïde puisqu’aucune éjection de poussières caractéristique n’apparaissait sur les images. Une récente étude vient d’être publiée et pourrait bien défendre l’idée qu’Oumuamua soit finalement une comète !

Des éjections de gaz et de poussières

Le 27 juin 2018, un article officiel est paru dans la célèbre revue scientifique « Nature » expliquant que l’astéroïde libérerait de petites quantités de gaz, suffisantes pour agir comme des propulseurs pouvant modifier son mouvement, sa vitesse et sa rotation. Un tel phénomène est principalement rencontré sur des comètes.

La distinction entre comètes et astéroïdes repose uniquement sur l’activité et la production de poussières ou de gaz. Un astéroïde est majoritairement composé de roches et n’émet aucun dégazage donnant lieu à une chevelure caractéristique des comètes.

Cette découverte intrigante rassemblant des scientifiques internationaux est le résultat d’observations menées à l’aide des télescopes les plus puissants de la planète : le télescope spatial Hubble, les télescopes terrestres Canada-France-Hawaii, Gemini Sud et le Very Large Telescope (VLT) au Chili.

Pour parvenir à cette conclusion, les astronomes ont dans un premier temps essayé d’anticiper la trajectoire de l’astéroïde en calculant les effets d’attractions gravitationnelles causés par le soleil et les planètes de notre Système Solaire. Étonnamment, ils ont remarqué que la position théorique d’Oumuamua possède un écart de 40 000 kilomètres ainsi qu’une vitesse beaucoup plus faible par rapport à ce que montrent les observations.

C’est donc en étudiant avec grande précision l’évolution de la position d’ Oumuamua, que cette équipe, dont le principal contributeur est Marco Micheli (Agence Spatiale Européenne), a pu constaté qu’une caractéristique intrinsèque de l’astéroïde aurait causé cette augmentation de vitesse et déviation de trajectoire. Aucun soupçon n’était porté sur cette force interne puisqu’aucune traînée de matière n’a été détectée sur les images. Bien que ténus, ces jets de gaz et de poussières auraient été suffisants pour servir de propulseurs naturels sur l’astéroïde. En règle générale, de tels phénomènes sont observés sur des comètes avec une plus grande intensité.

Actuellement, puisqu’Oumuamua est le premier objet interstellaire de ce type à pénétrer dans le système solaire, se prononcer sur sa nature définitive reste encore délicate. L’article scientifique officiel ne s’engage pas avec certitude sur la nature cométaire de Oumuamua, bien qu’il présenterait les caractéristiques d’une activité similaire à celle d’une comète. Les astronomes espèrent donc découvrir d’autres corps célestes semblables afin de confronter les résultats et de déduire si Oumuamua serait plutôt une comète qu’un astéroïde.

Un astéroïde qui a toujours retenu l’attention des astronomes

Oumuamua est un objet fascinant, qui n’a pas livré tous ses secrets. Au moment de sa découverte, les astronomes avaient déjà mesuré sa trajectoire extrêmement étirée qui n’avait jamais été rencontrée auparavant pour un objet situé dans le système solaire. Cette caractéristique appelée excentricité a une valeur égale à 1.19, signifiant que le mouvement d’Oumuamua est fortement elliptique, alors que la plupart des comètes ou astéroïdes présentent une excentricité autour de 0.2-0.7 dont l’orbite est assimilable à un cercle. C’est en raison de cet allongement de trajectoire que les scientifiques avaient déduit qu’Oumuamua provenait d’un autre système planétaire, en direction de la constellation de la Lyre.

Nuages Noctiluques par Adrien Mauduit
Médias

Nuages Noctiluques : un phénomène rare à observer cet été !

Les nuages noctiluques (ou noctulescents) sont sans doute les nuages les plus rares et mystérieux que l’on puisse observer sur Terre. A tel point que leur rareté dépasse celle des aurores boréales ! Mais contrairement à ces lueurs polaires, les nuages noctulescents peuvent être observés au Nord de la France comme au Sud !

Quelle est leur origine ? Comment peut-on les observer ? Comment les photographier ? Nous répondrons à toutes ces questions dans ce guide des nuages noctiluques, car la saison 2019 s’annonce surprenante !

Des nuages bleutés aux structures exotiques

Quel magnifique spectacle que d’observer ces nuages, encore méconnus du grand public aujourd’hui. D’une couleur bleue phosphorescente et évoluant dans le ciel crépusculaire comme des vagues , les nuages noctiluques apparaissent chaque année uniquement autour du solstice d’été. Filaments, ondulations, spirales, voiles… sont les formes aléatoires et uniques que peuvent prendre de tels nuages.

Les nuages noctiluques sont reconnaissables par leur ondulations blanches et bleutées caractéristiques. Photo prise par Adrien Mauduit.

Il n’est pas surprenant de constater que le nom original extrait de l’anglais « Noctilucent Clouds (NLC) » signifie « Night Shining Clouds« , c’est-à-dire Nuages nocturnes lumineux. Comme nous le verrons plus tard, les noctiluques n’émettent pas de lumière mais la réfléchissent.

Remarque : Il existe un grand nombre de synonymes pour désigner ces nuages : nuages noctiluques, nuages noctulescents, nuages polaires ou encore nuages mésosphèriques !

Bien qu’ils aient la dénomination de nuages, les noctiluques ne sont pas à confondre avec les nuages au sens commun du terme. Les fameux cumulus, stratus, cumulonimbus, cirrus…etc font partie de la couche de l’atmosphère appelée Troposphère, qui s’élève jusqu’à 20 kilomètres d’altitude environ. Les NLC eux, ne se produisent qu’à une seule altitude bien précise et bien plus élevée : vers 83 kilomètres au-dessus de la Terre, dans la mésosphère, où la température atteint les -100°C. De quoi donner le vertige !

D’ailleurs, c’est dans cette même couche de l’atmosphère que brûlent les météorides lorsqu’ils traversent notre atmosphère, produisant le phénomène que nous connaissons tous sous le nom d’étoiles filantes.

 

Des nuages formés par les étoiles filantes ?

En effet, l’origine des nuages noctulescents est à la fois atmosphérique et astronomique.

Tout d’abord, pour permettre la formation de n’importe quel nuage, il est nécessaire que des molécules d’eau soient initialement présentes dans l’atmosphère. Cependant, à plus de 80 kilomètres d’altitude, la température est telle que la présence d’eau liquide ou de vapeur d’eau est impossible. C’est pourquoi la seule manifestation d’eau de la mésosphère proviendrait de réactions chimiques avec du CO2. L’origine précise reste encore non élucidée, et la production de cristaux de glaces formés par évaporation des pôles et plus particulièrement du pôle nord reste encore à l’état d’hypothèse.

Toujours est-il que pour que ces cristaux de glace puissent se former, il est nécessaire que d’autres molécules soient présentes pour servir de fixateurs (air, poussières…). C’est ici que les étoiles filantes entrent en scène !

Les scientifiques ont récemment découvert que les cristaux de glaces se trouvant dans la mésosphère étaient composés de fines particules libérées lors de l’ionisation des étoiles filantes, formant les nuages noctiluques. La taille de ces particules d’origine interstellaire ne dépasse pas 10 nanomètres de diamètre, soit 0.000010 millimètres !

Ces étranges nuages sont donc extrêmement minces, comparables à de la fumée de cigarette ! Une question subsiste alors : comment trahissent-ils leur présence ?

 

Pourquoi sont-ils visibles ?

Les nuages noctiluques sont situés à 80 km d’altitude contre une vingtaine pour les nuages standards. Cette photo aérienne extraordinaire a été prise par Adrien Mauduit lors d’un vol passant près du cercle polaire.

Uniquement présents au-dessus du pôle Nord (ou Sud), les nuages mésophèriques ne sont visibles que par réflexion de la lumière du soleil. Pour un observateur Terrestre, le soleil doit être donc situé en direction du nord et sous l’horizon pour que sa lumière puisse se réfléchir sur ces ténus nuages. A ce moment, les nuages standards que nous connaissons sont situés dans l’ombre de la Terre. C’est pourquoi, il est facile de distinguer un nuage d’un nuage noctulescent qui semble produire de la lumière.

Typiquement, le soleil doit se trouver en moyenne à 11° sous l’horizon Nord. La période de l’année où le soleil présente cette configuration est autour du solstice d’été. Durant les autres saisons le soleil descend beaucoup plus bas, et n’est pas situé assez proche de l’horizon Nord.

La position du soleil n’est pas la seule condition qui rend les noctiluques visibles. La mésosphère n’est pas constamment refroidie à -100°C toute l’année. Paradoxalement, c’est en été qu’elle atteint cette extrême température, permettant aux cristaux de glace de se former et donc aux nuages noctulescents.

 

Comment observer et photographier les nuages Noctiluques en France ?

Ce qui rend les nuages noctulescents si mystérieux, est leur apparition imprévisible et fluctuante. De plus, ils ne peuvent pas être observés depuis n’importe quel endroit sur Terre. Puisqu’ils se forment au-dessus du pôle Nord (ou Sud), il faut être localisé a proximité du cercle polaire, sinon, ils ne seront visibles que trop bas sur l’horizon.

En règle générale, la latitude d’observation des nuages noctiluques oscille entre 45° (~centre de la France) et 65° Nord (~Islande) . La période la plus propice s’étend entre fin mai et début août, de chaque année.

Lieu d’observation

Plus vous serez situe au nord, plus la probabilité d’observer des NLC sera grande. Typiquement, il est intéressant de se trouver dans le nord de la France ou en Normandie. Les britanniques, danois ou bien les scandinaves sont quant a eux aux premières loges.

Le 21 juin 2017, le pic du midi s’est reveillé avec une manifestation exceptionnelle des nuages noctiluques. Une première ! Photo capturée par Pierre-Paul Feyte

Cependant, les années précédentes ont atteints des records puisque ces nuages ont été aperçus avec une grande intensité depuis des latitudes plus basses comme depuis les Alpes, les Pyrénées et même la Corse ! Finalement, depuis n’importe quel endroit en France, vous serez quasiment certain d’assister a ce spectacle au mois une fois par an !

Ou et Quand regarder ?

Les nuages noctulescents peuvent soit apparaître après le coucher du soleil ou soit avant son lever. Puisqu’ils sont rendu visibles par la réflexion de la lumière solaire, il est nécessaire que le soleil, ces nuages et l’observateur soient alignés dans cet ordre. C’est pourquoi ils se manifestent toujours au-dessus de l’horizon ou le soleil s’est couché ou va se lever.

D’une manière générale, c’est au-dessus de l’horizon Ouest-Nord-Ouest (après le coucher du soleil) ou Est-Nord-Est (avant le lever du soleil) qu’il faut chercher les nuages noctiluques. Puis, attendre au moins une heure et demie après le coucher du soleil avant d’espérer pouvoir observer les NLC. A l’inverse, si vous souhaiter les observer au petit matin, il faudra les chercher au moins une heure et demie avant le lever du soleil. (deux ou trois heures avant étant une bonne marge de sécurité)

Photographier les nuages noctiluques

Compte tenu de leur faible luminosité, il est souvent plus facile et plus impressionnant de voir les nuages noctulescents en photo plutôt qu’a l’oeil nu. Il est recommandé d’utiliser un appareil photo numérique du type reflex, afin d’obtenir la plus grande sensibilité possible. Voici une liste du matériel minimum requis :

  • Un appareil photo numérique ayant un mode M (réglage manuel)
  • Un trépied pour stabiliser l’appareil photo
  • Un objectif quelconque (grand angle ou zoom)

Avant de prendre la photo, n’oubliez pas de régler manuellement la mise au point a l’infini.
Il n’y pas de réglages universels pour photographier les NLC, car l’éclairage global du ciel et l’intensité des nuages varient suivant les situations.

Pour vous guider dans le choix des réglages, on peut cependant retenir quelques règles générales. Il est conseillé d’augmenter la sensibilité ISO plutôt que le temps de pose. En effet, les nuages noctiluques peuvent bouger très rapidement et un trop long temps d’exposition ne permettra pas de voir les détails de leur structure.

Nuages noctulescents aperçus le 17 juillet 2017 dans le massif des Vosges. Photo prise par Guillaume Doyen.

La photo ci-dessus est un exemple de photo de noctiluques que l’on peut obtenir avec les réglages suivants : Objectif 50 mm f/1.8, temps d’exposition de 6 secondes, ouverture f/2.2, sensibilité de 400 ISO.

Finalement, l’astuce la plus efficace pour réussir votre photo est d’effectuer une série de tests avec des réglages différents.

Pour clôturer ce dossier, rien de plus impressionnant que cette vidéo capturée par Adrien Mauduit. Astrophotographe Français, Adrien est sans doute le plus grand chasseur de ces nuages mystérieux au monde et a collaboré avec des futurs astronautes Canadiens sur le sujet. Les images qui suivent sont les plus détaillées à ce jour des nuages mésophèriques, prises depuis le sol.

Guillaume Doyen, rédacteur Vaonis

Conseils & Actu

Un Télescope sans oculaire, quel intérêt ?

Sans télescopes, l’astronomie n’aurait pas un intérêt aussi fort qu’aujourd’hui : en observant les astres au travers de ces instruments, nous prenons conscience de l’immensité et des beautés que recèle notre ciel étoilé. L’observation astronomique permet également de donner de la véracité aux merveilleuses images de galaxies, nébuleuses, amas d’étoiles que nous voyons circuler sur internet ou dans des livres d’astronomie.

Cependant, avez-vous déjà regardé la galaxie d’Andromède derrière l’oculaire d’un télescope ? Avez-vous aussi été surpris de n’apercevoir qu’une tâche floue, diffuse et dépourvue de couleurs ? Pourtant, on vous affirme que cet objet est exactement identique à celui de l’image prise par le télescope spatial Hubble que vous avez trouvé sur Internet !

Aujourd’hui, il est évident que l’observation astronomique doit être repensée, modernisée et améliorée. Les astronomes professionnels ont d’ailleurs été les premiers à observer le ciel en utilisant des images numériques retransmises sur leurs écrans d’ordinateur. De manière similaire, la start-up française Vaonis propose une fonctionnalité originale, qui renouvelle l’observation astronomique pour les particuliers : la “photobservation”, qui consiste à observer les étoiles avec un télescope dépourvu d’oculaire mais équipé d’une caméra très haute définition envoyant en temps réel des images couleurs de l’objet que vous observez, sur votre smartphone ou tablette !

Si vous faites partie des personnes peu convaincues que l’avenir de l’observation astronomique est vouée à remplacer les oculaires des télescopes par des caméras utilisant notre smartphone comme support d’observation, la lecture de cet article vous fera probablement changer d’avis.

 

Observation à l’oculaire : La plus grande déception de l’observation astronomique !

A la plus grande stupeur du grand public d’astronomie, regarder à l’oculaire d’un télescope ne signifie pas observer des images aussi nettes, lumineuses, et colorées que celles que nous pouvons trouvées sur internet ou dans les livres d’astronomie.

La qualité de l’image ne dépend pas seulement de la qualité optique du télescope mais aussi (et surtout) des performances de notre oeil. Bien que nos yeux soient de puissants outils qu’aucun appareil photo ne peut reproduire de jour, cela s’avère totalement faux lorsqu’il s’agit d’observer la nuit.

Les faiblesses de l’oeil humain en astronomie : un peu d’anatomie

Premièrement, l’oeil humain demande un certain temps d’adaptation à l’obscurité. Entre 10 et 15 minutes sont nécessaires pour qu’il puisse détecter les faibles variations de contrastes d’une nébuleuse, au travers d’un télescope ou même pour observer la voie lactée à l’oeil nu.
Bien évidemment, la sensibilité de l’oeil est limitée et ne permet pas d’observer les objets du ciel profond de manière parfaitement délimitée.

Composition de l’œil humain

L’oeil humain est composé, entres autres, de deux types de photodétecteurs tapissant la surface de notre rétine : les cônes et les bâtonnets. Ce sont ces photorécepteurs qui nous permettent de voir et de discerner les couleurs. Les cônes sont sensibles aux couleurs et il en existe 3 types : des bleus, des verts et rouges. Ils sont en permanence utilisés pour notre vision diurne (le jour), mais lorsque la luminosité extérieure est trop faible, les bâtonnets prennent le relai. Ces derniers sont beaucoup plus nombreux que les cônes mais sont aussi insensibles aux couleurs !

C’est grâce à eux que nous devons notre vision nocturne, et c’est aussi à cause d’eux que nous avons une vision nocturne en nuances de gris uniquement !
Par conséquent, nous ne serons jamais capables ni d’observer les galaxies et les nébuleuses en couleurs, ni de les voir avec une luminosité suffisante pour distinguer clairement leurs contours. Et ceci est vrai aussi bien à l’oeil nu ou à l’aide d’un télescope.

 

Les contraintes de l’observation classique : un observateur à la fois

En mettant de côté les limitations physiques de notre oeil, observer à l’aide d’un télescope n’a pas toujours été simple. Voici une liste non exhaustive des difficultés que présente l’observation visuelle :

  • Observation solitaire car une seule personne à la fois peut observer avec l’instrument
  • L’oeil ne doit pas toucher l’oculaire pour ne pas secouer le télescope
  • Le réglage de la mise au point est différent pour chaque observateur et secoue le télescope
  • La position d’observation est souvent gênante : devoir se courber, se mettre accroupi ou monter sur une marche pour atteindre l’oculaire du télescope !

 

Un écran : pouvoir observer + photographier = “photobserver”

Image comparative entre la nébuleuse d’Orion vue avec l’œil au travers d’un oculaire (gauche, simulation informatique)
et cette même nébuleuse vue avec une caméra intégrée dans un télescope comme Stellina (droite)

Vous l’aurez compris, en plus d’être inconfortable, l’observation visuelle à l’oculaire est bridée par la capacité de nos yeux à distinguer la faible luminosité des étoiles et autres objets célestes.

Le but premier de l’observation astronomique est d’observer les objets du ciel avec la meilleure qualité possible. Puisque modifier l’oeil humain reste impossible, la seule solution d’amélioration de la qualité d’observation réside dans le choix de grands télescopes onéreux. Malgré tout, le résultat n’est souvent pas à la hauteur de nos attentes.

C’est en constatant la limitation frustrante que présente notre oeil qu’une question essentielle nous heurte l’esprit : puisqu’il existe aujourd’hui des outils bien plus performants que nos yeux la nuit, ne serait-il pas plus efficace et économique de remplacer l’oculaire d’un télescope par un capteur photo ?

 

Observer les couleurs de l’Univers (Enfin !)

En effet, un capteur photo permet non seulement de révéler les vraies couleurs des nébuleuses et galaxies, mais aussi de détecter des objets qui nous paraissaient invisibles à l’oculaire d’un télescope !

La liste d’objets accessibles devient alors beaucoup plus enrichie et la satisfaction de ces images est d’autant plus grande, car les astres observés révèlent beaucoup plus de détails.

 

Des images en temps réel sur votre smartphone

Plus besoin d’adapter votre vue et d’essayer de deviner sur quel objet pointe le télescope, puisque l’image capturée s’affiche directement sur l’écran de votre smartphone ou tablette, par Wifi.

Mais le télescope Stellina ne se contente pas de prendre une seule photo et de vous la montrer ! Il réalise du live Stacking. Cette méthode employée par les professionnels consiste à prendre une série d’images en continu et de les superposer une à une. L’intérêt de cet empilement est de rendre l’astre observé plus visible à mesure que les secondes s’écoulent, par amplification de lumière.

L’application logicielle fournie avec Stellina effectue le traitement intégral des images et réalise un traitement adapté à chaque objet que vous observez, sans que vous n’ayez à vous soucier des techniques complexes de l’imagerie astronomique !

 

Un écran pour une observation collective et un moment de partage

Utiliser son écran de smartphone comme moyen de substitution d’un oculaire permet de vous déplacer librement autour du télescope sans être constamment contraint d’y retourner sans cesse. Avec un tel système, il est désormais possible d’inviter votre famille ou vos amis à observer vos images tout en restant assis depuis votre terrasse ou même depuis votre salon !
Votre tablette ou smartphone ne sert pas uniquement de support de visionnage de photos mais aussi d’une passerelle interactive pour partager vos images sur les réseaux sociaux.

Partager vos photos astronomiques n’aura jamais été plus simple et efficace qu’avec un Stellina. Nous voulons que chacun d’entre vous puisse partager son Univers : SHARE YOUR UNIVERSE !

De nouvelles perspectives pour l’Astronomie

Grâce à un télescope sans oculaire, vous n’aurez plus à vous soucier des réglages de mise au point, des changements d’oculaires…etc. Le télescope sera prêt à être utilisé en quelques secondes.

Un télescope comme Stellina vous permet à la fois d’observer la beauté de l’Univers mais aussi de vous lancer dans de l’astronomie plus avancée, ce que l’on appelle l’astronomie collaborative : occultation d’astéroïde avec reconstitution 3D, suivi d’étoiles variables, transits d’exoplanètes. Toutes ces activités qui s’inspirent du quotidien des astronomes professionnels seront encore plus accessibles au grand public.

Choisissez l’Univers qui vous convient avec un seul et même télescope nouvelle génération : Stellina.

Conseils & Actu

Quelle utilité de posséder un télescope équipé d’une résistance chauffante ?

Les belles nuits d’été arrivent à grand pas ! La période idéale pour sortir son télescope et s’initier à la photographie du ciel … mais quoi de plus frustrant que de constater que pendant que votre caméra prend des photos, une épaisse couche d’humidité s’est déposée sur votre télescope ?

Comment se débarrasser de cette condensation qui écourte vos observations et vos séances photographiques ? En choisissant un télescope équipé d’une résistance chauffante, ou en rajoutant celle-ci sur votre instrument. Cette résistance produit de la chaleur, qui va progressivement réchauffer la lentille, stoppant alors la formation de buée.

Parmi tous les télescopes destinés au grand public que l’on peut trouver sur le marché, le télescope Stellina de Vaonis est le seul à proposer cette fonctionnalité, avec des capteurs de température et d’humidité permettant de activer la résistance chauffante automatiquement qu’en cas de nécessité.

 

D’où vient cette condensation ?

Il est fréquent d’avoir de la condensation au cours d’une observation astronomique, à moins de se trouver dans un endroit sec, avec un très faible taux d’humidité (désert…).

Durant la nuit, les variations de températures sont beaucoup plus prononcées qu’en journée. La présence d’un ciel étoilé dépourvu de nuages laisse partir la chaleur faisant chuter la température parfois de 15 degrés en plein été. Pendant ce refroidissement brutal, le sol souvent humide libère la chaleur qu’il a emmagasinée la journée.

Toutes ces conditions défavorables agissent en faveur de la condensation (ou rosée) puisqu’elles font augmenter le point de rosée. Ce point particulier correspond à la température limite au-dessus de laquelle il n’y aura pas de condensation. Si malencontreusement, votre télescope s’est refroidi à une température inférieure à celle du point de rosée, la buée se formera sans exception.

Le graphique ci-dessus montre la dépendance du point de rosée en fonction du taux d’humidité et de la température extérieure. Plus les nuits sont fraîches et humides, plus le point de rosée est très proche de la température extérieure actuelle. Cela signifie que la condensation ne mettra que très peu de temps avant de se former sur votre télescope.

Quel est l’effet de la buée en astronomie ?

La condensation est redoutée par tous les astronomes amateurs. Lorsque ces gouttelettes d’eau se forment sur la lentille ou le miroir du télescope, elles agissent comme un filtre et dégradent considérablement la qualité de l’image. Non seulement la quantité de lumière récoltée est diminuée mais aussi la netteté de l’image.
En astrophotographie, l’image que vous obtiendrez d’un astre vous semblera très sombre et vous paraîtra floue comme lorsque vous n’arrivez pas à faire la mise au point avec votre appareil photo.

Comparatif de deux images de la Nébuleuse d’Orion. L’image de gauche est une simulation de l’impact de l’humidité sur la photo, alors que l’image de droite correspond au même astre imagé dans de bonnes conditions.

En plus d’accélérer le vieillissement des composants électroniques et mécaniques de télescopes non protégés, la condensation participe également à la dégradation des optiques des télescopes (miroirs et lentilles).

Comment s’en débarrasser ?

La buée n’est rien d’autre qu’un phénomène naturel, et par conséquent n’importe quel télescope du marché que vous choisirez souffrira systématiquement de la condensation. La seule solution est de disposer d’un système permettant d’augmenter la température de l’optique pour éviter de descendre en-dessous du point de rosée. C’est cette élévation de température qui empêchera la formation de condensation.

Une résistance chauffante est le meilleur ami des astronomes amateurs. Adieu les séances d’observations écourtées à cause de l’humidité qui s’est déposée sur le télescope !

Stellina dispose de ce système anti-buée, avec la particularité qu’il est totalement intégré et auto-régulé. Chez Vaonis, nous nous sommes basés sur les retours d’expériences des astrophotographes ainsi que sur leurs plus grandes craintes afin de vous proposer un télescope de haut niveau ! À ce jour, il s’agit de l’unique télescope grand public au monde à proposer une résistance chauffante intégrée.

Le système anti-buée de Stellina : bien plus qu’une simple résistance chauffante !

Pour une protection optimale contre la condensation, Vaonis n’a pas misée sur une seule résistance mais a entouré l’optique de Stellina d’une dizaine de résistances chauffantes régulièrement réparties autour de la lentille frontale de Stellina. Vous n’êtes pas sans savoir que, de manière similaire à nos grille-pains ou chauffages électriques, les résistances chauffantes consomment beaucoup de puissance ! Ce n’est pas un problème avec Stellina, puisque le système ne s’active que lorsque qu’il le juge nécessaire et en optimisant la consommation. Des capteurs de température et d’hygrométrie informent le télescope en temps réel du risque de condensation ou non.

Télescope Ciel Profond

Nous avons pris soin de proposer un mode manuel permettant aux utilisateurs de pouvoir forcer l’activation des résistances chauffantes afin de s’assurer que leurs photos seront dépourvues de buée.

L’astrophotographie n’a jamais été aussi intuitive et sereine qu’avec Stellina !

 

Conseils & Actu

TESS : une chance de découvrir une nouvelle Terre d’ici 2 ans !

Et si l’on découvrait dans moins de 2 ans la première planète semblable à la Terre et abritant la vie ?

Bien que la réponse ne soit pas évidente, elle ne demeure pas pour autant une impossibilité, notamment avec le lancement de la mission spatiale TESS de la NASA en avril dernier.

La chasse aux exoplanètes n’a jamais été aussi préoccupante pour les astronomes qu’aujourd’hui !

Le début d’un recensement interminable

Depuis la découverte de la première exoplanète en 1992 (nommée Poltergeist et orbitant autour d’un Pulsar), l’homme a pris conscience que l’Univers, malgré son immensité vertigineuse, pouvait abriter d’autres planètes, d’autres systèmes solaires et donc potentiellement d’autres Terres, où la vie serait envisageable.

Avant l’avènement des télescopes spatiaux, ces planètes orbitant autour d’étoiles situées dans notre galaxie étaient découvertes principalement en petite quantité, grâce à des observations faites depuis le sol uniquement.

Ce n’est que dans les années 2000 que le célèbre télescope spatial Hubble fut utilisé pour la première fois afin de confirmer la présence d’exoplanètes préalablement découvertes. De même, le 22 mars 2005, la NASA annonce que son télescope spatial Spitzer a réalisé la toute première observation directe d’une exoplanète. Cependant les performances et les disponibilités de Hubble et de Sptizer n’en font pas des télescopes adaptés à ce type de recherche. C’est pourquoi la NASA décida de lancer une mission spatiale où un télescope serait entièrement dédié à la recherche d’exoplanètes : Kepler.

Une volonté d’aller plus loin

Si le nombre d’exoplanètes découvertes à ce jour (mai 2018) s’élève à 3767, c’est en grande partie grâce à la mission Kepler, qui compte à elle seule un total de 2512 exoplanètes confirmées !

Après 9 ans de services, Kepler arrive à la fin de sa mission et transmet actuellement ses dernières données avant que la NASA ne décide de le mettre définitivement hors-service.

Un des principaux défauts de Kepler est qu’il observait des régions très étroites du ciel, ne bénéficiant pas d’une vision large comme son nouveau successeur : TESS !

TESS : une mission prolifique

Le satellite de surveillance de transits d’exoplanètes (ou TESS) a été lancé le 18 avril 2018 par une fusée Falcon 9 de la société SpaceX.

TESS n’est pas un seul télescope spatial à proprement dit puisqu’il est en réalité composé de 4 télescopes indépendants à vision large. Au cours de sa mission estimée à deux années, les scientifiques compte surveiller plus de 200 000 étoiles brillantes et y détecter d’éventuelles variations de luminosité, causées par le passage d’une planète extra-solaire devant son étoile. Cette méthode de détection d’exoplanètes porte le nom évocateur de “méthode par transit”.

Ainsi, l’ambition de TESS est de découvrir pas moins de 20 000 exoplanètes dont % d’entre-elles seraient de la taille de la Terre.

Cette ambition ne serait jamais atteinte sans effectuer un large scan de notre voûte céleste. En effet, l’atout principal de cet observatoire spatial est la faculté d’utiliser quatre télescopes de grande ouverture (f/1.4), couvrant chacun une zone étendue de 24 x 24 degrés. Par conséquent, la zone couverte sera 400 fois plus large que celle du précédent télescope Kepler !

Comment TESS détecte-t-il les exoplanètes ?

La totalité du ciel sera divisé en deux parties Nord-Sud comptabilisant 13 zones chacune. TESS surveillera le ciel à raison d’une zone toutes les 4 semaines. Ainsi, en 2 ans, les 26 zones auront toutes été observées.

L’orbite sur laquelle le télescope a été placé est fortement elliptique, avec une période de 14 jours environ. A chaque passage au plus près de la Terre, TESS transmet systématiquement les données acquises pendant les deux semaines de mesures. Ces données sont principalement des images capturées par les 4 capteurs CCD de 16.8 Mega pixels. Celles-ci sont précieuses puisqu’elles contiennent les informations photométriques des étoiles observées, c’est-à-dire leur variations de luminosité au cours du temps.

A partir de ces mesures photométriques, il sera donc possible de déduire la taille ainsi que les paramètres orbitaux des planètes évoluant autour de ces étoiles. L’estimation de leurs masses ne pourra être obtenue qu’avec l’appui de puissants télescopes terrestres.

Observer des exoplanètes avec son propre télescope, ce n’est pas de la science-fiction !

Observer les exoplanètes n’est pas qu’une affaire de professionnels . En utilisant de plus modestes télescopes, accessibles aux amateurs, il est tout à fait possible de détecter des exoplanètes par la méthode du transit. Un télescope d’une focale de 400 mm et d’un diamètre de 80 mm équipé d’une caméra (des caractéristiques similaires au télescope Stellina par exemple) permet ainsi de s’initier à la chasse aux exoplanètes.

TESS se révélera cependant beaucoup plus efficace et prolifique que tout autre instrument amateur. Le début de sa mission scientifique commencera mi-juin, peu de temps après avoir atteint son orbite de travail.  

Guillaume Doyen

Conseils & Actu

STELLINA, l’astrophotographie à portée de main

L’observation visuelle en astronomie est une activité relativement accessible, à la fois en terme de matériel, de niveau de connaissances et surtout de budget. Dès lors que l’on souhaite aller plus loin et immortaliser ses premières images de galaxies ou de nébuleuses, une autre étape doit être franchie: celle de l’astrophotographie. Les astronomes amateurs vous le feront entendre : l’imagerie astronomique est un loisir qui demande beaucoup de patience, de matériel et d’investissement.

Néanmoins aujourd’hui, l’astrophotographie se modernise pour laisser place à des systèmes de haute technologie permettant de mêler astrophotographie et simplicité. A l’heure où nos voitures peuvent être commandées par notre smartphone, ne serait-il pas temps de l’appliquer aux télescopes ?
Vaonis a ainsi conçu STELLINA, une nouvelle génération d’appareils hybrides entre le télescope et l’appareil photo, équipés d’une intelligence embarquée. A l’image de ce que l’on pourrait avoir avec une installation d’astrophotographie classique, STELLINA se compose de tous les outils obligatoires en astrophotographie, alliant à la fois compacité, transportabilité, autonomie et simplicité.

STELLINA est une version miniaturisée et automatisée d’une installation classique  d’astrophotographie qui répond à de nombreuses contraintes matérielles : l’achat d’un équipement complet, onéreux, encombrant et difficile à transporter. Voyons quels sont les avantages de STELLINA face aux setups standards utilisés par la majorité des astronomes amateurs.

De l’astrophotographie traditionnelle…

SETUP ASTROPHOTO CLASSIQUE

STATION D’OBSERVATION STELLINA

 

 

Une configuration classique en astrophotographie ne repose pas uniquement sur le choix d’un télescope et d’une monture mais également sur toute une constellation d’équipements et d’accessoires autant utiles les uns que les autres.

1. Le télescope ou la lunette astronomique

Contrairement à l’observation visuelle qui nécessite l’emploi de grandes surfaces collectrices comme les Dobson, l’astrophotographie est moins exigeante en ce qui concerne la taille du télescope. STELLINA est équipé d’une lunette doublet ED de 80 mm de diamètre et de 400 mm de focale, construite sur-mesure et contrôlée par le laboratoire optique français AiryLab.

Dans le commerce, une lunette ED du commerce aux caractéristiques techniques identiques revient en moyenne à 500€  à elle seule, avec des niveaux de qualité optique inégaux selon les marques.

2. La monture

Choisir une monture adaptée est un choix primordial, voire plus important que celui de votre lunette astronomique. Si la monture est mal motorisée, c’est elle qui va limiter le temps de pose maximal de vos images du ciel profond, et le résultat sera décevant. En astrophotographie, l’option GoTo d’une monture permet de pointer le télescope de manière totalement automatique vers n’importe quel objet du ciel, via une base de données où des milliers de cibles ont été préalablement pré-enregistrées; un confort qui reste dans la plupart des cas optionnel et très coûteux. Sur STELLINA, la monture et la fonction de pointage automatique sont incluses nativement.

Quel que soit le télescope, la monture est l’outil le plus complexe à manipuler car il demande de l’expérience. Par exemple, avant chaque observation, la mise en station doit être réalisée avec la plus grande précision. Il s’agit une étape préalable indispensable à n’importe quelle monture de type équatorial qui consiste à régler l’axe horizontal de la monture pour le rendre parallèle à l’axe de rotation de la Terre, et permettre ainsi à l’instrument de suivre le mouvement des astres.

Ce réglage fastidieux est entièrement automatisé sur STELLINA puisqu’il effectue la mise en station (initialisation) de façon totalement transparente pour l’utilisateur, en quelques minutes seulement. D’une part, l’instrument va récupérer la position GPS, la date et l’heure de l’appareil mobile utilisé et d’autre part, effectuer une détection de champ d’étoiles en prenant une photo d’une zone étoilée pour connaître son orientation dans le ciel.

3. Appareil photo ou caméra

L’imagerie ne pourrait jamais fonctionner sans un capteur imageur. En astrophotographie classique, il est commun d’utiliser un appareil photo de type reflex sans objectif, que l’on vient adapter à l’arrière du télescope. Cette solution coûte le prix d’un reflex soit environ 600 €. STELLINA bénéficie d’un capteur Sony (IMX178) réputé pour son exceptionnelle sensibilité en basse lumière conçu spécifiquement pour des utilisations nocturnes. Le capteur, intégré directement dans l’appareil et ne mesurant pas plus d’1cm, est protégé de la chaleur des composants électroniques environnants grâce à une architecture en plusieurs cartes.

4. Auto-guidage

Lorsque l’on souhaite capturer des photos de plusieurs minutes d’exposition, la monture montre des signes de faiblesse, se traduisant par un mauvais suivi de l’objet cible. L’astrophotographie consiste à utiliser un système d’autoguidage dont le but est de mesurer les erreurs générées par la monture et de les corriger. Une telle correction doit se faire en utilisant un montage composé d’une petite lunette et d’une caméra, en parallèle de votre télescope. Pour ces deux articles, le prix total augmente de 250 € en moyenne.
Sur STELLINA, pas besoin d’auto-guidage, l’électronique de commande se charge de minimiser les erreurs de la monture, qui resteront imperceptibles même après plusieurs dizaines de minutes de poses cumulées.

5. Autres accessoires indispensables

A ce stade, les éléments d’un setup classique d’astrophotographie nous conduisent à une facture d’environ 2500€ € (adaptateurs, câbles, rallonges inclues). Pour obtenir des images dans les meilleurs conditions de températures et de luminosité, les astrophotographes ont souvent recours à la résistance chauffante auto-régulée et au filtre anti-pollution lumineuse (filtre CLS), dont les prix varient entre 70€ et 100€

Finalement on obtient un kit d’équipement standard en astrophotographie proche de 2700€, contre 2999 € pour  STELLINA, qui offre lui une solution tout-en-un totalement intégrée.

Prix moyen constaté Poids moyen constaté Référence
Lunette doublet ED 80mm

500€

2,5 kg 80ED Skywatcher
Lunette de guidage

120€

2 kg 80/400 Skywatcher
Monture équatoriale + Trépied + Raquette de Commande + Contrepoids

1100€

26 kg HEQ5 Skywatcher ou Sirius Orion
Appareil photo

600€

0,8 kg Canon 800D
Caméra de guidage

120€

0,1 kg ASI120
Filtre antipollution lumineuse

70€

CLS Astronomik 31.75mm
Résistance chauffante

100€

0,1 kg Omega 30€ + contrôle 70€
Câbles & adaptateurs divers…

100€

1 kg Adaptateur T2, rallonge USB, rallonge batterie ou secteur…
TOTAL

2710

 32,5 kg  

… à STELLINA

Combien de nuits les astrophotographes amateurs consacrent-ils à maîtriser leur matériel avant de parfaitement le dompter ? Ou encore, combien de temps perdent-ils à le transporter et à l’installer chaque soir ? Toutes ces nuits où le ciel nous offre ses plus belles parures sont ternies par l’installation et la mise en route du télescope et de sa monture, des réglages chronophages qui peuvent parfois durer jusqu’à 2 heures chaque nuit selon la qualité du matériel utilisé.

Avec STELLINA, l’observation et l’astrophotographie commencent en quelques secondes seulement. Transportez facilement ce monobloc sur votre balcon ou dans votre jardin, posez-le sur son trépied, appuyez sur le bouton marche, sortez votre smartphone et la découverte du ciel peut commencer ! Oubliez les questions techniques que l’on se pose avec un setup classique. STELLINA a été conçu pour offrir une expérience utilisateur simplifiée : moins de temps sur les réglages, plus d’observations du ciel et plus de partage grâce à cet outil qui se veut convivial et utilisable par tous. L’astrophotographie n’aura jamais été aussi simple et accessible. Plus qu’un simple télescope, STELLINA est un nouvel appareil dédié à l’observation de nouveaux territoires, tel un mini observatoire ou un Hubble domestique : un compagnon d’observation permettant d’explorer en toute simplicité l’Univers.

 

 

Our online buy steroids store specializes in delivering steroids across the US.