Sans télescopes, l’astronomie n’aurait pas un intérêt aussi fort qu’aujourd’hui : en observant les astres au travers de ces instruments, nous prenons conscience de l’immensité et des beautés que recèle notre ciel étoilé. L’observation astronomique permet également de donner de la véracité aux merveilleuses images de galaxies, nébuleuses, amas d’étoiles que nous voyons circuler sur internet ou dans des livres d’astronomie.

Cependant, avez-vous déjà regardé la galaxie d’Andromède derrière l’oculaire d’un télescope ? Avez-vous aussi été surpris de n’apercevoir qu’une tâche floue, diffuse et dépourvue de couleurs ? Pourtant, on vous affirme que cet objet est exactement identique à celui de l’image prise par le télescope spatial Hubble que vous avez trouvé sur Internet !

Aujourd’hui, il est évident que l’observation astronomique doit être repensée, modernisée et améliorée. Les astronomes professionnels ont d’ailleurs été les premiers à observer le ciel en utilisant des images numériques retransmises sur leurs écrans d’ordinateur. De manière similaire, la start-up française Vaonis propose une fonctionnalité originale, qui renouvelle l’observation astronomique pour les particuliers : la “photobservation”, qui consiste à observer les étoiles avec un télescope dépourvu d’oculaire mais équipé d’une caméra très haute définition envoyant en temps réel des images couleurs de l’objet que vous observez, sur votre smartphone ou tablette !

Si vous faites partie des personnes peu convaincues que l’avenir de l’observation astronomique est vouée à remplacer les oculaires des télescopes par des caméras utilisant notre smartphone comme support d’observation, la lecture de cet article vous fera probablement changer d’avis.

 

Observation à l’oculaire : La plus grande déception de l’observation astronomique !

A la plus grande stupeur du grand public d’astronomie, regarder à l’oculaire d’un télescope ne signifie pas observer des images aussi nettes, lumineuses, et colorées que celles que nous pouvons trouvées sur internet ou dans les livres d’astronomie.

La qualité de l’image ne dépend pas seulement de la qualité optique du télescope mais aussi (et surtout) des performances de notre oeil. Bien que nos yeux soient de puissants outils qu’aucun appareil photo ne peut reproduire de jour, cela s’avère totalement faux lorsqu’il s’agit d’observer la nuit.

Les faiblesses de l’oeil humain en astronomie : un peu d’anatomie

Premièrement, l’oeil humain demande un certain temps d’adaptation à l’obscurité. Entre 10 et 15 minutes sont nécessaires pour qu’il puisse détecter les faibles variations de contrastes d’une nébuleuse, au travers d’un télescope ou même pour observer la voie lactée à l’oeil nu.
Bien évidemment, la sensibilité de l’oeil est limitée et ne permet pas d’observer les objets du ciel profond de manière parfaitement délimitée.

Composition de l’œil humain

L’oeil humain est composé, entres autres, de deux types de photodétecteurs tapissant la surface de notre rétine : les cônes et les bâtonnets. Ce sont ces photorécepteurs qui nous permettent de voir et de discerner les couleurs. Les cônes sont sensibles aux couleurs et il en existe 3 types : des bleus, des verts et rouges. Ils sont en permanence utilisés pour notre vision diurne (le jour), mais lorsque la luminosité extérieure est trop faible, les bâtonnets prennent le relai. Ces derniers sont beaucoup plus nombreux que les cônes mais sont aussi insensibles aux couleurs !

C’est grâce à eux que nous devons notre vision nocturne, et c’est aussi à cause d’eux que nous avons une vision nocturne en nuances de gris uniquement !
Par conséquent, nous ne serons jamais capables ni d’observer les galaxies et les nébuleuses en couleurs, ni de les voir avec une luminosité suffisante pour distinguer clairement leurs contours. Et ceci est vrai aussi bien à l’oeil nu ou à l’aide d’un télescope.

 

Les contraintes de l’observation classique : un observateur à la fois

En mettant de côté les limitations physiques de notre oeil, observer à l’aide d’un télescope n’a pas toujours été simple. Voici une liste non exhaustive des difficultés que présente l’observation visuelle :

  • Observation solitaire car une seule personne à la fois peut observer avec l’instrument
  • L’oeil ne doit pas toucher l’oculaire pour ne pas secouer le télescope
  • Le réglage de la mise au point est différent pour chaque observateur et secoue le télescope
  • La position d’observation est souvent gênante : devoir se courber, se mettre accroupi ou monter sur une marche pour atteindre l’oculaire du télescope !

 

Un écran : pouvoir observer + photographier = “photobserver”

Image comparative entre la nébuleuse d’Orion vue avec l’œil au travers d’un oculaire (gauche, simulation informatique)
et cette même nébuleuse vue avec une caméra intégrée dans un télescope comme Stellina (droite)

Vous l’aurez compris, en plus d’être inconfortable, l’observation visuelle à l’oculaire est bridée par la capacité de nos yeux à distinguer la faible luminosité des étoiles et autres objets célestes.

Le but premier de l’observation astronomique est d’observer les objets du ciel avec la meilleure qualité possible. Puisque modifier l’oeil humain reste impossible, la seule solution d’amélioration de la qualité d’observation réside dans le choix de grands télescopes onéreux. Malgré tout, le résultat n’est souvent pas à la hauteur de nos attentes.

C’est en constatant la limitation frustrante que présente notre oeil qu’une question essentielle nous heurte l’esprit : puisqu’il existe aujourd’hui des outils bien plus performants que nos yeux la nuit, ne serait-il pas plus efficace et économique de remplacer l’oculaire d’un télescope par un capteur photo ?

 

Observer les couleurs de l’Univers (Enfin !)

En effet, un capteur photo permet non seulement de révéler les vraies couleurs des nébuleuses et galaxies, mais aussi de détecter des objets qui nous paraissaient invisibles à l’oculaire d’un télescope !

La liste d’objets accessibles devient alors beaucoup plus enrichie et la satisfaction de ces images est d’autant plus grande, car les astres observés révèlent beaucoup plus de détails.

 

Des images en temps réel sur votre smartphone

Plus besoin d’adapter votre vue et d’essayer de deviner sur quel objet pointe le télescope, puisque l’image capturée s’affiche directement sur l’écran de votre smartphone ou tablette, par Wifi.

Mais le télescope Stellina ne se contente pas de prendre une seule photo et de vous la montrer ! Il réalise du live Stacking. Cette méthode employée par les professionnels consiste à prendre une série d’images en continu et de les superposer une à une. L’intérêt de cet empilement est de rendre l’astre observé plus visible à mesure que les secondes s’écoulent, par amplification de lumière.

L’application logicielle fournie avec Stellina effectue le traitement intégral des images et réalise un traitement adapté à chaque objet que vous observez, sans que vous n’ayez à vous soucier des techniques complexes de l’imagerie astronomique !

 

Un écran pour une observation collective et un moment de partage

Utiliser son écran de smartphone comme moyen de substitution d’un oculaire permet de vous déplacer librement autour du télescope sans être constamment contraint d’y retourner sans cesse. Avec un tel système, il est désormais possible d’inviter votre famille ou vos amis à observer vos images tout en restant assis depuis votre terrasse ou même depuis votre salon !
Votre tablette ou smartphone ne sert pas uniquement de support de visionnage de photos mais aussi d’une passerelle interactive pour partager vos images sur les réseaux sociaux.

Partager vos photos astronomiques n’aura jamais été plus simple et efficace qu’avec un Stellina. Nous voulons que chacun d’entre vous puisse partager son Univers : SHARE YOUR UNIVERSE !

De nouvelles perspectives pour l’Astronomie

Grâce à un télescope sans oculaire, vous n’aurez plus à vous soucier des réglages de mise au point, des changements d’oculaires…etc. Le télescope sera prêt à être utilisé en quelques secondes.

Un télescope comme Stellina vous permet à la fois d’observer la beauté de l’Univers mais aussi de vous lancer dans de l’astronomie plus avancée, ce que l’on appelle l’astronomie collaborative : occultation d’astéroïde avec reconstitution 3D, suivi d’étoiles variables, transits d’exoplanètes. Toutes ces activités qui s’inspirent du quotidien des astronomes professionnels seront encore plus accessibles au grand public.

Choisissez l’Univers qui vous convient avec un seul et même télescope nouvelle génération : Stellina.